57 scientifiques et médecins signent une tribune dans laquelle ils appellent à la suspension de la vaccination de masse
5 min read1951 Views
STOP à la vaccination de masse !
Une tribune, publiée le 8 mai 2021 et regroupant de nombreux médecins et scientifiques internationaux (USA, Espagne, Mexique, Argentine, Brésil…), dont la française Alexandra Henrion-Caude, généticienne et chercheuse à l’INSERM, appelle à la plus grande prudence en matière de vaccination contre le SARS-CoV-2, et demande une suspension immédiate de la vaccination de masse pratiquée à l’échelle mondiale.
Pourquoi cet appel en période de vaccination accélérée et d’intensification des stratégies vaccinales ?
La première des raisons qu’ils mettent en avant est le manque de tests approfondis et sérieusement contrôlés sur les animaux avant les essais clinique sur l’homme, la rapidité avec laquelle les autorisations de mise sur le marché ont été accordées en l’espace d’à peine trois mois et demi pour certains vaccins. Il y a donc pour eux, un véritable sujet sur la sécurité de ces vaccins.
Ils soulignent particulièrement « Le rôle récemment identifié du pic de glycoprotéine du SARS- CoV-2 qui peut induire des lésions endothéliales caractéristiques du COVID-19, même en l’absence d’infection, est extrêmement pertinent étant donné que la plupart des vaccins autorisés induisent la production de glycoprotéine Spike chez les receveurs ». C’est-à-dire le risque d’inflammation au niveau des vaisseaux sanguins, en raison d’une riposte immunitaire très importante. Soulignant le taux élevé d’occurrence de ces effets indésirables et de leur large éventail au sein de la population vaccinée, et mettant en parallèle « le potentiel d’amélioration de la maladie due au vaccin » faible, de l’immunopathologie Th2 (réponse immunitaire excessive due à l’introduction d’un allergène), de l’auto-immunité (anomalie du système immunitaire, ici par l’injection du vaccin, qui contraint ce dernier à s’attaquer aux composants normaux de l’organisme) et de l’évasion immunitaire (capacité du virus à échapper aux anticorps induits par le vaccin), ils estiment qu’il y a nécessité à avoir une meilleure compréhension des bénéfices et des risques de la vaccination de masse, et principalement dans les groupes qui ont été exclus des tests cliniques.
Soulignons l’aveuglement des organisations de santé (OMS) et des autorités gouvernementales, ces médecins et chercheurs en appellent à la plus grande prudence et surtout à l’instauration d’un véritable dialogue entre les scientifiques et les politiques dans le cadre des politiques de santé à appliquer.
Pour eux, « les risques ont été minimisés ou ignorés par les organisations gouvernementales, malgré les appels à la prudence ». 3 millions de décès ont été rapportés de par le monde sur 150 millions de cas, soit seulement 1,5% de décès imputables à la maladie.
Ils rappellent qu’aucun vaccin contre d’autres coronavirus n’a jamais été validé et que les données recueillies à l’occasion d’essais pour « susciter des anticorps », prouvent que ces mêmes vaccins peuvent aggraver la maladie COVID-19. Les experts avaient évalué en 2020 les risques du vaccin contre le COVID-19 à partir d’essais de vaccins contre le SARS-CoV sur des « modèles animaux ». Ces mêmes experts restaient alors prudents mais conseillaient malgré tout qu’il était nécessaire de poursuivre les essais cliniques sous « surveillance continue ».
Les signataires de la tribune reconnaissent qu’aucun lien direct ne peut être encore établi entre la vaccination contre le COVID-10 et les nombreux effets indésirables graves, mais ils font remarquer que le suivi des volontaires immunisés avec deux doses n’a pas assez de recul (de deux à trois mois, largement insuffisant). En utilisant le système américain de comptabilisation des effets indésirables (VAERS), ils constatent que le nombre de décès par million de doses de vaccins administrées « a été multiplié par 10 ».
Revenant sur le déroulement de la phase trois des essais cliniques, ils soulignent deux points importants :
– Les personnes âgées ont été exclue des essais alors qu’elles ont bénéficié en priorité de la vaccination
– Aucun essai ne prenait en compte une exposition antérieure au SARS-CoV 2
– Ont été exclues des essais les femmes enceintes, allaitantes, et les personnes souffrant d’infections graves (tuberculose, hépatite C, cancer…) alors que le vaccin leur est maintenant proposée en prévention.
Sur les effets indésirables grave des vaccins ils rappellent qu’il englobe un « large spectre clinique, allant de la pathologie pulmonaire très légère ou sévère, à une maladie multi- organique mortelle avec dérégulation inflammatoire, cardiovasculaire ou provoquant une coagulation sanguine ».
Autre point intéressant, ils rappellent que la thrombocytopénie induite par les adénovirus est bien connue des scientifiques et des médecins depuis des années et que ce phénomène est constant avec les « vecteurs adénoviraux ». Pour eux, le risque de thrombose serait donc plus élevé chez les personnes déjà à risque de coagulation sanguine. Tout ceci est donc connu, et pourtant, le risque a bel et bien été négligé lors de l’autorisation et la mise sur le marché de ces vaccins.
Le dernier point qu’ils abordent est l’impact direct lié au vaccin. Le SARS CoV-2 est un virus ARN à évolution rapide. Le virus de base actuel a déjà produit plus de 40 000 variants, d’une très grande hétérogénéité de gravité certes, mais qui pourrait induire, du fait des vaccins, une sous-réaction aux infection ultérieures.
Cette tribune soulève de nombreuses questions quant aux politiques vaccinales mises en avant par ceux qui nous gouvernent.
Pour en avoir parler à une cousine médecin, il est évident que cette vaccination de masse est « inquiétante ». Trop peu de recul, une trop grande précipitation, des effets indésirables sous- évalués… Elle ajoutait, avec force, qu’il ne fallait pas vacciner les enfants car nous ignorons totalement les effets secondaires à court, moyen et long terme sur eux.
Conclusion : STOP à la vaccination de masse imposée !
Article écrit par ULEX