À ceux qui disent : Vive la république !
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En tout premier lieu, avant que vous ne commenciez la lecture de cet article, je voudrais vous prévenir que le témoignage retranscrit ici est assez choquant à lire. Je conseille aux personnes un peu sensibles ainsi qu’aux mamans de notre bord qui subliment la fibre maternelle jusque dans leurs gènes, de bien réfléchir avant de lire ce qui va suivre. Je vous remercie.
Oh que oui ! Oh ! Mais dîtes donc ! Qu’ils l’aiment leur tendre république adorée ! Qu’ils y tiennent et semblent ne jamais vouloir l’abandonner ! Sacrée république héroïque que leur comptaient leurs professeurs prétentieux. Des bancs de la maternelle aux amphithéâtres de l’université, ces contes ô trop souvent narrés, trouvent en ces lieux maints gobeurs bien simplets. Souvenirs idylliques ou le mensonge pervers se plaît à maquiller une vérité moins aphrodisiaque. Une république qui se chante humaniste, exemplaire et ne vit que par le peuple, au service du celui-ci. La perfection de l’homme nouveau incarnée par amour en idéologie révélée. L’évolution de la race humaine touchant à son accomplissement absolu ! Où quand la sagesse divine se glorifie en droits de l’homme paradisiaques ! La république édénique ainsi figurée n’est qu’honneur et fierté ! En ce sens, je vous l’accorde très volontiers ! Et bien croyez-moi ou pas mes amis, mais il se pourrait que la réalité en soit fort éloignée.
Voici, pour appuyer mes dires, un petit extrait tiré du livre » Vendée, du génocide au mémoricide » de Reynald Secher. Cela se passe pendant la révolution et je vous rapporte ici un bouleversant témoignage de la manière dont est née notre fantasmagorique république :
« Cinq cents enfants des deux sexes, dont les plus âgés avaient quatorze ans, sont conduits au même endroit pour y être fusillés. Jamais spectacle ne fut plus attendrissant et plus effroyable ; la petitesse de leur taille en met plusieurs à l’abri des coups de feu ; ils délient leurs liens, s’éparpillent jusque dans les bataillons de leurs bourreaux, cherchent refuge entre leurs jambes qu’ils embrassent fortement en levant vers eux leur visage où se peignent à la fois l’innocence et l’effroi. Rien ne fait impression sur ces exterminateurs ; ils les égorgent à leurs pieds ; d’autres parviennent à s’écarter de ces bataillons de la mort : des soldats se détachent et le plomb arrête leur course en les renversant sur la poussière : des cavaliers les atteignent et les massacres ; les plus proches sont assommés par ces cannibales. La vigueur de l’âge les fait relever plusieurs fois sous les coups de crosse qu’on leur assène ; autant de fois ils sont renversés jusqu’à ce qu’ils soient privés de la lumière. Malheureux enfants, ils appellent à haute voix leur père, leur mère à leur secours. Hélas ! Ils ne sont plus. La nature est muette pour eux. L’humanité ne peut se livrer à ses heureux sentiments. La mort attend ceux à qui elle inspire le plus léger mouvement : un soldat perd connaissance à la vue de ce spectacle horrible. Le fer achève de le plonger dans les ténèbres. Un officier ose demander grâce. Il est traduit au milieu de ces groupes d’enfants et fusillé avec eux. »
Voilà ! Voilà comment naquit la république ! Vous imaginez, vous ! Voilà comment furent traités ceux qui avaient des idées différentes ! Ici les pauvres vendéens ! Et je le répète ! Cet extrait n’en est qu’un parmi beaucoup d’autres ! Comment peut-on se penser républicain quand l’on sait cela ? Entre nous, c’est impossible ! Si vous avez le cœur bien accroché, je vous conseil vivement ce livre de Reynald Secher. Je puis vous assurer chers lecteurs, conquis ou sceptiques, que vous en ressortirez vaccinés (pardon pour ce mauvais jeu de mots en ces temps de crise sanitaire où nous croulons tous sous des milliards de cadavres) de la république. Que de dégoût ! Que d’horreurs mes amis ! Et bien d’autres monstruosités inqualifiables que vous n’osez même pas imaginer sont ainsi retranscrites dans ce livre débordant de preuves historiques ! Une vérité hideuse qui doit pourtant être dévoilée au grand jour. »La république ! C’est moi ! » Osent encore se gargariser certains hommes politiques… Vive la république ! Qu’ils nous martèlent tous après chacune de leurs plates interventions… Vous êtes révulsés par les, soit disantes horreurs qu’auraient commis les »nazis » ?
Attendez un peu de voir les innommables atrocités que les républicains furent capables d’inventer. Vous croyez que ces mêmes »nazis » ont le monopole du génocide ? Ah ! Doux rêveurs baignés de naïveté ! Vous n’en croirez pas vos yeux. Vous ressortirez de cette lecture avec des larmes de rage.
Alors à ceux qui chantent la Marseillaise la main sur le cœur, à ceux qui aiment Marianne et le drapeau tricolore taché du sang des enfants de cet extrait et bien plus encore et à ceux qui disent : Vive la république ! À ceux-là… Regardez la vérité historique en face et lisez ce livre. Il y a un avant et un après cette lecture.
»Vendée, du génocide au mémoricide », de Reynald Secher.
Par Augustin du Réveil des Moutons
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Oui, tout est dit; la république est une « gueuse », comme le disait avec justesse Mauras. C’est un système au totalitarisme caché. Un judéo-bolchevisme dans un gant de velours, celui de la prétendue « démocratie ». Quant à la référence aux allemands, je la trouve bien triste; il va bien falloir comprendre qu’ils sont les derniers à avoir tenté de renverser cette machine broyante d’obédience judéo-maçonnique qui a fait tache d’huile dans le monde. Ils n’ont pas envahi la « France », mais le territoire volé par cette république illégitime à 200%, puisqu’à AUCUN MOMENT validée par plébiscite du peuple (que l’on me cite, d’ailleurs, UN ou PLUSIEURS pays DANS LE MONDE appliquant de système républicain sur plébiscite de son peuple; j’ai cherché, il n’y en a AUCUN). Il faut comprendre la mécanique républicaine pour comprendre l’escroquerie. Il n’y a JAMAIS EU de démocratie, dans notre pays. JAMAIS.
Ah, et j’ai oublié une bricole: n’oublions pas que la république a été imposée au peuple par des députés envoyés par le peuple à la convocation des états généraux de Louis 16 pour… régler le problème de la dette, RIEN D’AUTRE. La république a donc commencé par une TRAHISON ABSOLUE de cette classe de politicards auto-proclamée… Quant à l’Europe, re-belotte: le peuple a dit NON au traité de Maastricht de Chirac. La crapule j*** Sarkozy a changé le nom du traité en « Traité de Lisbonne » et l’a fait voter par ses potes députes qui ont répondu… OUI… Trahisons, mensonges, manipulations, génocide et histoire truandée, voilà sur quoi repose cette république de charognards…
»Les sois disantes horreurs qu’auraient commis les »nazis » » …. Ces »comparaisons » ne sont pas là pour critiquer les allemands, mais plutôt la république. Ceci pour montrer que la république applique , comme à son habitude depuis des siècles, l’inversion accusatoire envers ses ennemis.
Oui, j’ai bien compris, lol. Mais cette comparaison est faite partout, toujours, tout le temps, et toujours de la même manière et pour les mêmes raisons. C’est pénible. Pourquoi ne pas choisir Staline?
Parce que l’union des républiques socialistes soviétiques sont moins les ennemis de la république française que les nationaux socialistes. 😉
Sans tomber sous le coup de la loi… 😉