Espionnage à l’israélienne
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Pegasus : une société israélienne accusée de servir l’espionnage mondial de reporters et dissidents.
L’enquête a été publiée ce dimanche par un consortium de dix-sept médias internationaux, dont font partie Le Monde, The Guardian et The Washington Post ». Qui ? Mais qui peut bien être à l’origine d’une telle surveillance des Gentils ? Le Swaziland ? Le Trinidad et Tobago ? L’ombre du Honduras s’étendrait elle inexorablement dans la société française ? Il s’agirait pourtant d’un petit État voyou du Moyen-Orient.
« Des militants, des journalistes et des opposants du monde entier ont été espionnés grâce à un logiciel mis au point par l’entreprise israélienne NSO Group, selon une enquête publiée dimanche 18 juillet qui renforce les soupçons pesant de longue date sur cette société. »
Cette société, antenne bien connue du Mossad est aussi connue pour vendre ses logiciels de surveillance dans le monde entier. Notamment en Arabie Saoudite et au Maroc. Résultat des courses après la publication de ces révélations qui sont un secret de polichinelle. Le Maroc serait à l’origine des dérives liberticides en Occident. C’est bien connu, l’implacable main du Big Imam marocain plane sur l’Europe. Pauvre malhonnêteté quand tu nous tiens. Pourtant l’ancien patron de la DST « doute » que le Maroc soit à l’origine de l’espionnage. Qui ? Mais alors qui ? Selon lui, « Je serai très prudent sur d’abord l’origine de l’établissement de ces listings. On attribue ça au Maroc, moi je reste prudent. « Au micro d’Europe 1 il a révélé que le « Maroc est un partenaire […] adossé à d’autres grandes puissances avec qu’il coopère. » En terme de marchandage d’espionnages de Gogoys le régiment de cosaque a sa petite idée quant aux infos. Un petit tour de cavalerie dans un shtetls s’impose.
« Cette entreprise, fondée en 2011 au nord de Tel-Aviv commercialise, le logiciel espion Pegasus qui, s’il est introduit dans un smartphone, permet d’en récupérer les messages, les photos, les contacts, et même d’écouter les appels de son propriétaire.
NSO Group a régulièrement été accusé de faire le jeu de régimes autoritaires, mais a toujours assuré que son logiciel servait uniquement à obtenir des renseignements contre des réseaux criminels ou terroristes.
L’enquête publiée dimanche par un consortium de dix-sept médias internationaux, dont font notamment partie les quotidiens français Le Monde , britannique The Guardian, et américain The Washington Post, entame sa crédibilité.
Leur travail se fonde sur une liste obtenue par les organisations Forbidden Stories et Amnesty International et qui comprend, selon eux, 50.000 numéros de téléphone que les clients de NSO ont sélectionnés depuis 2016 en vue d’une surveillance potentielle.
Elle inclut les numéros d’au moins 180 journalistes, 600 hommes et femmes politiques, 85 militants des droits humains, ou encore 65 chefs d’entreprise… d’après l’analyse menée par le consortium qui a localisé de nombreux numéros au Maroc, en Arabie saoudite ou au Mexique.
Sur cette liste, figure d’ailleurs le numéro du journaliste mexicain Cecilio Pineda Birto, abattu quelques semaines après son apparition sur ce document. Des correspondants étrangers de plusieurs grands médias, dont le Wall Street Journal, CNN, France 24, Mediapart, El Pais, ou l’AFP en font aussi partie. D’autres noms de personnalités figurant sur la liste – qui comprend notamment un chef d’État et deux chefs de gouvernement européens – seront divulgués dans les prochains jours. »
Notre cher président serait sur écoute. Que peut bien raconter notre cher monarque. Les messages d’amour enflammés envoyés à ses petits mignons sont donc entre de bonnes mains. Ainsi que les codes nucléaires mais ça c’est pas people on préfère savoir quand le petit énarques se fait secouer la chaudière
Article écrite par Le Cosaque
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