Les fossiles et les marteaux : entre gérontocratie achevée et marxisme pathologique, autopsie de l’agonie « française »
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En hommage à Manu, rendez vous à la victoire, dans ce monde ou dans l’autre.
Il se pourrait fort que ce texte soit mon dernier publié ici : ça tombe bien, car il fait figure de testament tant, ce sujet de la dite réforme des retraites condense, cristallise, magnifie tous les éléments de la dramatique situation « française ».
Pays de cocagne jadis civilisé, transformé irrémédiablement par plus de deux siècles de républiques cosmopolites et génocidaires en un hôtel de passe formidablement dégueulasse, véritable asile à ciel ouvert dans lequel les derniers autochtones se débattent en vain avant la liquidation totale. Tout doit disparaître !
Mais avant, comprenez braves sous-chiens qu’il faudra encore trimer un peu, larbiner plus que de raison pour entretenir vos chances, assurer le train de vie princier de vos maquereaux et garantir les rentes exorbitantes de nos boomers. Solidarité intergénérationnelle, ils appellent ça les cuistres. Une telle effronterie dépasse l’entendement et n’est pas sans rappeler une certaine peuplade dont ces vautours sont les obligés les plus visqueux, les plus rampants, les serviteurs les plus acharnés depuis des décennies.
Quant à moi, je propose une autre forme de solidarité, symétrique. Diminution forfaitaire de moitié des pensions pour tous ceux nés entre 1945 et 1968 et instauration de régimes spéciaux (ils en sont très friands.) pour les retraités de l’éducation nationale, des chemins de fer et de la fonction publique en général avec une décote de 75 % de leurs retraites, pour commencer. Ensuite, je réfléchirai à une fiscalité adéquate concernant la vente prochaine de leurs actifs immobiliers notamment, en vue de compenser leurs pertes de revenus, afin d’abonder un fond souverain dédié à la relance de la natalité et à l’aide aux jeunes générations de la France périphérique exclusivement.
«Les plus pessimistes sur les hommes sont toujours dépassés par la réalité.»
Citation de Brasillach qui résume parfaitement cette génération maudite, la plus détestable depuis des temps immémoriaux. De mai 68 et ses mantras hypocrites, à leur champion ectoplasmique Macron en passant par l’élection de Mitterrand que de chemin parcouru…
Ces sous-hommes sont passés tour à tour « d’élections piège à cons », à la constitution d’un bloc électoral granitique garant de leurs privilèges les plus odieux ; de « il est interdit d’interdire », à la formation d’une société dystopique dans laquelle on risque la prison pour des délits d’opinion ou pour des thèses historiques hétérodoxes ; de « ne pas perdre sa vie à la gagner », à saigner à blanc (c’est le cas de le dire.) les derniers actifs de cette colonie que la liberté d’expression en vigueur dans ce trou à merde m’empêche de qualifier. De « faites l’amour pas la guerre », à une natalité cataclysmique et à la troisième guerre mondiale par l’entremise du soutien total et sans condition au mafieux (((Zelensky))) ; de la retraite à 60 ans promesse électorale du socialiste à francisque, à faire turbiner jusqu’à ce que mort s’en suive les jeunes générations pour payer leurs croisières, leurs cures thermales, leur lunettes fluos, leurs sonotones, leurs vacances à Marrakech (cheh les racistes).
Et l’on pourrait continuer comme ça des pages et des pages. Une destruction méthodique de l’ordre moral, social, de ce qu’il restait encore de fonctionnel en France, afin de jouir sans entrave, de se vautrer dans leur hédonisme forcené.
Faire des enfants quelle vieille idée surannée, se soucier du futur, pensez dont, après nous le déluge. Préserver notre culture, notre pays d’une immigration de peuplement, quel manque cruel d’ouverture d’esprit et puis il faut bien des larbins pour payer nos retraites, n’est-ce pas ?! Baisser les taxes et dégonfler cet Etat marxiste tentaculaire, sûrement pas ! Sans les 200 milliards de la sécu gaulo-communiste qui va payer nos thalassos, nos prothèses de hanche et nos implants dentaires, bande de sales blancs-becs privilégiés au SMIC.
Nous, on a bossé comme des dingues en période de plein-emploi et de salaires indexés sur l’inflation qui par ailleurs autofinançait nos crédits ce qui nous a permis de nous constituer un parc immobilier très confortable et d’empocher loyers et APL pour mettre un peu de beurre dans les épinards.
Moyennant quoi, ces immondes fins de race ont tout ignoré des périls pourtant immenses qui ont vu le jour suite à la victoire des (((démocraties))) En 1945. Doctement, et avec cette morgue qui les caractérise. Imperméables à une quelconque forme de bon sens, révulsés par un semblant de Loi naturelle, guidés par le cynisme et la froideur de leurs égoïstes intérêts petits-bourgeois, ils ont prospéré tels des insectes nécrophages sur le cadavre en décomposition de la France et de l’Europe. Dès lors comment s’étonner de la teneur des débats actuels autour de cette question si fondamentale des pensions mirobolantes de cette nuée de criquets ?!
Plus de 300 milliards d’euros par an ponctionnés sur les actifs dans la plus formidable pyramide de Ponzi de l’Histoire reléguant Madoff au rang d’arnaqueur à la petite semaine.
Le dernier clou dans notre cercueil n’est pas exactement bon marché. Ceci dit il demeure plus qu’impératif de le payer, rubis sur l’ongle ! La démocratie, la ripoublique, les loges, les droits de l’Homme (avec un grand J) l’exigent. Merci bien de fermer vos sales gueules et de faire le chèque.
« Jeune homme, la France se meurt: ne troublez pas son agonie. » Robert Brasillach
À ce stade, il me parait nécessaire, à des fins de salubrité publique, d’évoquer rapidement le rôle des jeunes générations dans ce foutoir, celles nées entre 1980 et 2000 ou plus précisément notre absence totale d’un quelconque rôle, notre déficit abyssal de poids politique, notre effacement coupable. Certes, la responsabilité des boomers est immense et l’Histoire la jugera implacablement, pour autant nos insuffisances, notre apathie, l’insondable bêtise d’une (très) grande partie des plus jeunes ne peut être ignorer ni minimiser.
D’ailleurs, le pouvoir l’admet à demi-mots, naviguant à vue, de réformes en réformes, l’horizon actuel étant d’équilibrer le système (l’escroquerie) jusqu’en 2030 afin de contenter les presque 20 millions de parasites grabataires qui votent comme un seul homme pour le premier démagogue qui leur garantira leurs rentes. D’ailleurs, le pouvoir l’admet à demi-mots, naviguant à vue, de réformes en réformes, l’horizon actuel étant d’équilibrer le système (l’escroquerie) jusqu’en 2030 afin de contenter les presque 20 millions de parasites grabataires qui votent comme un seul homme pour le premier démagogue qui leur garantira leurs rentes.
Or face à cela qu’entend-on à longueur de journée ? Plus de taxes, toujours plus de pognon dans l’arnaque, même les lycéens et les étudiants, les pauvres bougres, manifestent, encadrés par les dinosaures marxistes de la rééducation anti-nationale, et autres syndicalistes stipendiés, gras comme des moines, gavés de pognon par l’Etat qu’ils prétendent combattre. C’est la nef des fous, très française, l’Albanie mentale, le socialo-marxiste sclérosé en phase terminale.
Ils n’ont jamais travaillé de leur vie, mais exigent des garanties sur le niveau des pensions qu’ils espèrent toucher dans un demi-siècle. Les mots viennent à manquer pour décrire une telle médiocrité, on éprouve les plus grandes difficultés d’ordre lexical pour qualifier une telle stupidité.
Et c’est précisément là où nous en sommes chers lecteurs. Comme je ne cesse de le répéter, collectivement, au niveau national du moins, plus rien n’est possible, ni même souhaitable en réalité tant ce Système est en bout de course. Il va crever lamentablement avec perte et fracas et je recommande de s’en tenir aussi éloigné que possible afin de se prémunir des effets collatéraux de sa chute.
Ceux qui le pouvaient (ou s’en sont donnés les moyens) ont voté avec leurs pieds et sont partis loin de ce dépotoir que l’on persiste à nommer France. C’est en effet une solution pragmatique. Pour ceux qui restent, dont je suis, voici quelques pistes qu’il conviendra à tout un chacun d’explorer :
– Comprendre que l’on bâtit sa vie sur le temps long et comme le dit le proverbe : comme on fait son lit, on se couche. Faire des enfants (le plus possible) est depuis la nuit des temps le moyen le plus adéquat d’assurer ses vieux jours. Étant entendu qu’entre gens sains et de bonne compagnie, des enfants élevés dans les nobles valeurs d’amour de son sang, de respect de son clan, conscient des efforts et des sacrifices consentis afin de leur assurer une éducation digne de ce nom, s’occuperont plus tard de leurs parents mieux que n’importe quelle aide-soignante issue de la plus grande Fronce dans un hospice « public »…
– Gagner le moins possible d’argent taxé par cet état mafieux ce qui présente le double avantage de conserver du temps libre pour d’autres activités et de ne pas alimenter leur machine infernale.
– S‘orienter (soi-même ou ses enfants selon son âge) vers de vrais métiers nécessitant de véritables savoir-faire afin de pouvoir se délocaliser en cas de besoin et surtout afin de générer des revenus qui potentiellement pourraient échapper à la fiscalité, chose absolument impossible pour un salarié lambda d’un bullshit job quelconque.
– Se constituer sa propre retraite, c’est-à-dire prévoir au long cours d’épargner sous une forme ou une autre, dans des actifs tangibles si possible (métaux précieux, terrains, etc) plutôt que de partir quatre fois par an en vacances ou de consommer compulsivement comme une bonne femme.
– Faire le lien entre le féminisme institutionnel, hautement pathologique et mortifère, et ce sujet des retraites. Mais plus généralement avec une grande partie des malheurs qui nous accablent et nous menacent dans notre existence même. Car comment soutenir l’avortement de masse de toutes ces traînées fortes et indépendantes, entrainant une natalité catastrophique tout en exigeant de toucher sa retraite plein pot ?!
Je développerai peut-être ce sujet fondamental ultérieurement, pour l’heure cela nous emmènerait trop loin.
En attendant, n’en déplaise à tous les grands analystes et autres thuriféraires des mobilisations inutiles que l’on nomme manifestations, à tous les débiles légers qui annoncent la chute imminente de Macron depuis plus de cinq ans sous le poids de la rue (lol), cette prétendue réforme passera.
Elle a été décidée très largement au-dessus du pouvoir visible agité devant les masses de golems, ce que nous explique Alain Minkowski dit « Minc« , se faisant le relais d’un certain Larry Fink (de la même chapelle, si j’ose dire) président de Blackrock venu donner ses ordres à son laquais élyséen il y a peu. C’est à partir de la minute 39′ :
https://www.tf1info.fr/replay-lci/video-un-oeil-sur-le-monde-du-2-fevrier-2246952.html
Ce bienfaiteur de l’Humanité « gère » environ 10 000 milliards de dollars avec ses cousins de New-York et d’ailleurs. En face, nous avons des défilés d’analphabètes, des stands de saucisses, des pachydermes marxistes syndiqués ou non et tout ce que compte la France de ratés congénitaux et de fonctionnaires merdiques. Les charges de cavalerie polonaises, sabre au clair contre les panzers allemands avaient en comparaison beaucoup plus de chances de succès.
Que Dieu vous garde.
Article écrit par Jules
Soutenir : manulrdm@gmail.com