L’étau ne se desserre pas
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À l’heure où tous les regards sont braqués sur l’Ukraine, il pourrait sembler que l’étau covidiste se desserre : Jean Castex n’a-t-il pas annoncé la fin du port du masque obligatoire dans la quasi-totalité des lieux et la suspension du pass vaccinal pour le 14 mars ? Est-ce une trêve ? Est-ce la fin de l’esclavagisme covidiste ?
Non : l’étau ne se desserre pas, il mute, il prend une forme nouvelle. Voyez comme le covid a muté, variant après variant. Voyez comme la République, comme toute follieuse, sait inventer de nouvelles ruses, de nouvelles séductions, et user de métamorphoses.
Si on oublie le covid, si on quitte l’ère de crise covidiste (ce qui n’est pas assuré, puisque pour mémoire l’OMS a lancé en décembre dernier un « processus d’élaboration et de négociation d’une convention, d’un accord ou d’un autre instrument international afin de renforcer la prévention des pandémies et la préparation et la réaction à celles‑ci » et que ce jeudi 3 mars 2022 le Conseil de l’Union européenne a donné « son feu vert à l’ouverture de négociations sur un traité international sur les pandémies »*) ce ne sera que pour entrer dans une nouvelle crise. D’une « guerre sanitaire » on passe à une guerre économique – sinon militaire.
Il en est ainsi depuis quelques années maintenant : crise après crise, les gouvernements enchaînent et accumulent les mesures insensées, liberticides, anti-nationales, ils créent des régimes dérogatoires qui entrent dans le droit commun sans que personne ne s’en offusque – ou si peu. C’est la tradition républicaine depuis 1789.
Les gilets jaunes se sont éteints, et l’on est passé au covid. Du covid, on passera à l’Ukraine. Et qu’est-ce qui changera ? Rien, sinon qu’on nous concoctera une nouvelle potion mortifère, sans doute plus empoisonnée et néfaste encore que le vaccin pfizer.
Le pire, c’est qu’en plongeant dans une nouvelle crise, on oublie sitôt celle qui a précédé : le tableau de la mémoire du peuple est effacé et seuls les mythes fondateurs du système perdurent, légitimant tout ce qu’il décidera ensuite. Le tableau est effacé : mais on ne repart pas de zéro, loin s’en faut : c’est la même trajectoire qui se poursuit, qui avance peu à peu, sans que ne bronche trop le peuple. Seules quelques âmes libres protestent et se cabrent sous le joug. Saluons leur honneur !
L’étau ne s’est jamais desserré. Il ne se desserre jamais. Et il ne se desserrera jamais. N’y comptons pas. Il n’y a pas de répit, pas de repos, pas de trêve, pas de compromis, pas de paix possible avec les vils félons assassins de la France !
Le pays ne peut se contenter d’une faible distension des liens qui le tiennent captif. Quand l’un des étaux se dévisse, quand une corde se dénoue quelque peu, c’est qu’un nouveau collier lui est passé pour mieux l’étrangler. Le pays sera toujours plus enchaîné si l’on ne comprend enfin que l’on ne peut aucunement se satisfaire de mesurettes et de répit. Il n’est pas temps de baisser les armes.
Il n’y a qu’un moyen d’arrêter le processus infernal. Briser les colliers un à un, les chaînes une à une, ce serait déjà bien, certes, mais la moitié du chemin resterait encore à faire : le mal doit être éradiqué à sa source… Il faut reprendre notre pays, car il est à nous, ce sont nos ancêtres qui y ont vécu, c’est notre héritage, il est nôtre de droit. Depuis quand laissons-nous nos terres à des bandes de hyènes ? D’où vient, dans notre peuple, ce manque de fierté, ce peu d’honneur ? Où est passée notre insolence et notre fougue ? Fait-on si peu de cas de la France ?
Il est temps de ne plus oublier les fautes. Il est temps de ne plus oublier notre mémoire, de la faire rejaillir, d’abattre les mythes et les idoles du système, de le vomir tout entier pour remettre en place d’honneur notre histoire et nos valeurs.
Attention mouton ! Ils cessent de te tondre, mais c’est pour mieux te dépecer vif ! Organise toi contre la tyrannie !
Article écrit par Hilda Lefort du Réveil des Moutons
Sources :
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