19 avril 2024

Lettre de Paris n°19

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Mon cher cousin,

Je vous écris une nouvelle fois en cette semaine. Je me dois cependant de vous dire que cela sera la dernière fois que je vous écris. En effet, en cette situation de crise et de guerre larvée, je me rends au front, afin d’affronter l’ennemi de face. Je vais donc m’exposer à de nombreux dangers, et ne pourrai donc vous impliquer plus longtemps dans mon combat. C’est ainsi que me voilà vous adressant les dernières nouvelles de la France occupée et résistante.

Ainsi mon cher cousin, les temps sont mûrs. Comme je vous le disais la semaine dernière, le temps de la bonne ambiance, de la fête et de la courtoisie est passé. Il est désormais le temps de l’affrontement direct et radical. Je vous parlais il y a peu d’une jeune femme, charmante et incisive que la Ripoublique souhaite embastiller. Son crime ? Et bien une pancarte mon cousin ! Après une hystérie collective qui fit de cette charmante demoiselle l’ennemi publique numéro un, la voilà qui doit se rendre devant la justice. La fameuse justice ! Celle de la République, Merde ! Quand même ! Nous nous devons tous de lui apporter le soutien le plus massif possible. C’est en effet par une union des libertés que nous pourrons faire face à ce système. Je me rend donc auprès de ses soutiens pour affirmer que la liberté ne se négocie pas. Alors que dans les protestations populaires où le maître mot est bonne ambiance et proximité, nous, militants devons passer à la vitesse supérieure. Les manifestations de bonnes femmes sur de la musique d’ascenseur m’est tout bonnement insupportable. A l’heure de la lutte frontale contre un pouvoir génocidaire, nous ne lui montrons qu’un visage angélique, respectueux de donner une belle image. Elève anti-pass ? Zéro ! La note est a revoir, nous ne pouvons protester en affichant un visage d’agneau doux. Nous ne pouvons continuer à être représenter par des traîtres et des retournés. Je vous le dis mon cousin, ce qui me révolte le plus dans cette situation n’est pas nos ennemis déclarés. Mais bien tout les traîtres qui pullulent et dévient la sainte colère de notre peuple. Ces traîtres devront aussi rendrent des comptes. C’est ainsi que je décide de pousser la lutte bien plus loin. Par conséquent je ne tiens pas à vous impliquer dans des risques qui ne vous concerne pas. Vous avez décidé de quitter notre nation qui se meurt. En effet, elle ne vous mérite plus. En revanche, pour ma part, je suis bien incapable de quitter ma terre. Je préfère couler avec le navire plutot que de voir le naufrage de loin. Il vaut mieux périr pour l’idéal de sa patrie que fuir. Oh, je ne vous reproche rien mon cousin ! Vous êtes surement bien plus réaliste que moi. Je ne suis que bien trop idéaliste. Mais c’est précisemment cet idéal qui me pousse à prendre plus de risques. L’heure est à la tranchée de combat, aux rations de survie, aux sacs de sables, et aux armes. C’est ma ferme intuition.

C’est ainsi mon cousin, en guise d’adieu, que je tiens à rendre hommage à un grand homme, symbole de la disparition d’une époque et d’un monde. Vous le connaissez sans aucun doute, il s’agit de notre Bébel national. A 88 ans il n’est plus, 88 ? quel taquin ce bébel ! Cet homme, symbole d’une période où tout était permis est l’antithèse de notre époque. A notre monde de pisse froid et délire hygéniste, nous répondons la vie à grande vitesse de Belmondo. A ce monde de fiottes et demi-tapin nous répondons la fierté et la virilité d’un Belmondo. A ce monde féministe et d’hystérie vaginale, nous répondons Belmondo le séducteur de belles poules. A ce monde sécuritaire nous répondons Belmondo le cascadeur. Enfin, à ce monde métissé et fade, nous répondons le désir de vivre. Cette puissance de dévorer la vie. Cet appétit insatiable de prendre la vie par le col et de lui expliquer ce que sera la vie, ce qu’on en fera, à fond. A ce monde de tyrannie nous répondons la FRANCE LIBRE. Au delà d’un acteur de génie, d’un cascadeur hors pair, et d’un athlète tout a fait respectable, nous saluons le symbole de cet homme. Il est le symbole d’une gauloiserie et d’une bonnhomie qui disparaît. Il est bien plus qu’un acteur, il est le symbole de ce monde que nous ne voulons pas voir mourir. Nous nous battrons pour ce monde, qui surgira sur le cadavre fumant du mondialisme. A ce monde de l’indistinction, nous répondons les particularismes et la diversité de nos traditions. Nous vivons dans la plus belle nation du monde. Une nation où toute l’Europe y est résumée dans ses paysages. Une nation qui fut un phare pendant des siècles. Une nation qui produisit parmis les plus grands génies de l’Occident. Nous sommes la Nation. Nous ne mourrons pas, la mission de la France est divine, son rôle sacré. Ainsi en guise d’adieu mon cousin je tiens à réaffirmer une énième fois que la France est un miracle, et que seul son retour à sa mission d’origine lui permettra de renaître. C’est ainsi qu’à ma faible échelle, je vais au front. Afin de m’evertuer à ce que le message de cette mission soit répandue.

Je vous dis adieu mon cousin, et je sais que nous nous reverrons autour de l’immense feu de joie de la renaissance de la France et de la défaite de notre ennemi. Je vous invite à suivre l’actualité du combat national, la suite s’annonce bouillante… Affaire à suivre..


Lettre écrite par Le Cosaque

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