19 avril 2024

“On peut débattre de tout, sauf des chiffres”

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Débattons donc de 3 chiffres officiels.

Guillaume, l’un de mes meilleurs amis (nous nous connaissons depuis bientôt 40 ans), avait de bonnes raisons de s’inquiéter du covid au printemps 2020. Non seulement lui et sa copine avaient été cloués au lit par une méchante grippe, mais en plus il a eu connaissance, dans son entourage professionnel et social immédiat, d’au moins 3 personnes officiellement décédées du covid, dont deux en relativement bas âge (autour de la cinquantaine). Cet ami a depuis largement adhéré aux mesures gouvernementales visant à gérer la crise sanitaire (sans jamais sombrer dans la coronafolie, fort heureusement).

En ce qui me concerne, sa réaction était des plus logiques, son expérience réelle concordant avec le narratif médiatique. Statistiquement toutefois, il est impossible que la plupart des français aient pu tirer les mêmes conclusions de leur propre vécu, comme le révèlent les chiffres présentés dans cet article.

Deux ans après le début de la crise, nous sommes désormais en mesure de démontrer, au delà de tout doute, que la pandémie n’en était pas une, et que les mesures liberticides du gouvernement étaient par conséquent infondées. (Pour faire simple, une pandémie c’est quand une part significative de la population souffre d’effets graves d’une pathologie). 

1/ Nombre de morts du covid sans comorbidité en France entre le 1er mars 2020 et le 29 mars 2021 (donc sur 13 mois) : 

14,471

Source : rapport de Santé publique France en date du 1er avril 2021.

https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/332147/document_file/COVID19_PE_20210401_v2.pdf

Les données clés, page 43 du rapport :

 

Commentaires et précisions :

⦁ Renseignements pris sur internet et auprès de médecins en exercice : l’immense majorité des décès est maintenant rapportée par voie électronique. (Afin qu’un médecin utilise un certificat de décès sur support papier, il doit dans un premier temps se le procurer via l’agence régionale de santé dont il dépend, en faisant la requête par voie postale…). De surcroit, les décès dans un cadre hospitalier sont tenus de se déclarer par voie électronique.

⦁ À titre de comparaison, l’épidémie de grippe à l’hiver 2016-2017 a fait 14,000 morts en France, https://www.ladepeche.fr/article/2018/01/10/2718947-grippe-l-epidemie-2017-2018-particulierement-severe.html. Il n’en reste pas moins, nous en convenons, que le covid est plus virulent que la grippe ordinaire.

2/ Pourcentage des prises-en-charge hospitalières pour raison de covid en France en 2020: 

2%

Source : Analyse de l’activité hospitalière 2020, ATIH (Agence technique de l’information sur l’hospitalisation).

https://www.atih.sante.fr/sites/default/files/public/content/4144/aah_2020_analyse_covid.pdf

Les données clefs, page 26

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Commentaires et précisions :

⦁ Afin de jouer franc jeu, relevons toutefois, à la dernière ligne du rapport, que près de 20% des journées de réanimations concernaient “la prise en charge de patients covid”. Sans malice, nous posons toutefois la question : malades du covid, ou avec le covid ? La nuance a son importance.

⦁ Notons aussi, par souci d’honnêteté, que la crise du covid n’a commencé en France qu’en mars 2020 ; donc les chiffres avancés mériteraient légitimement d’être quelque peu revus à la hausse afin de prendre en compte le premier trimestre 2021.

 

3/ Effets secondaires et décès attribués aux “vaccins” en Europe depuis le début de la campagne de vaccination jusqu’au 15 janvier 2022 :

Effets secondaires : 3,392,632
Effets secondaires graves : 1,611,423
Décès : 37,927

Source : Base de données européenne des rapports d’effets indésirables (Eudravigilance).

https://www.adrreports.eu/fr/index.html

 

Commentaires et précisions :

⦁ Il ne s’agit là que des données rapportées et prises en compte par Eudravigilance. Il est notoire que ces données sont bien en deçà de la réalité puisque de nombreux effets secondaires ne sont pas rapportés.

⦁ Notons qu’en raison de leur dangerosité, le Japon a maintenant largement stoppé la campagne de “vaccination” covid. Le pays traite désormais les malades à l’ivermectine (procédé interdit en France).

 

CONCLUSION

Chacun peut le constater avec un peu d’honnêteté et de recul : la crise du covid a été surjouée, exploitée, manipulée.

Mon ami Guillaume a néanmoins raison de faire remarquer que le covid n’est pas une grippe ordinaire. Je le rejoins puisqu’il s’agit d’une arme biologique conçue à Wuhan avec des fonds du gouvernement américain ; la seule incertitude à présent concerne sa fuite (accidentelle ou intentionnelle). Nous sommes très certainement en présence d’un agent pathogène conçu pour tuer.

On comprendra donc pourquoi tant d’individus fragiles (obèses, en mauvaise santé, les vieillards en bout de course, …) ont succombé à ce virus. Mais pour la vaste majorité de la population, la leçon à retenir ne serait-elle pas qu’il serait temps de se nourrir sainement, de faire de l’exercice, de réduire sa consommation de médicaments, voire d’éteindre sa télé pour de bon ? Là-dessus il n’y sans doute pas matière à polémique !  

 

Article écrit par Lawrence d’Arabie

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