24 avril 2024

Waserman n’est pas homme à ne boire que de l’eau

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« Cette race est faite pour la tyrannie puisqu’elle n’a aucun ressort de conscience ; elle adore une idole imbécile, une idole de marbre ou de plâtre qu’on appelle la loi, et au nom de cette loi, elle subit tout… Il n’y a qu’en France qu’un gouvernement ait pu s’appeler, comme par une désignation constitutionnelle : la Terreur. » Edouard Drumont.

 

Dans ce théâtre de Grand-Guignol que l’on nomme pompeusement assemblée nationale, en réalité misérable aéropage de menteurs pathologiques, professionnels et patentés, fossoyeurs de la Nation ; nous avons accidentellement l’occasion d’entendre quelques vérités. En voici une, chuchotée derrière sa muselière et sa main fourbe, par le sieur Waserman, rien de moins que le vice-président de cette institution républicaine frelatée, faisandée à souhait.

 

En plein « débat » sur la transformation de ce qui fut la France en une vulgaire maison de pass, les maquereaux de la Macronie s’impatientent : tout ce vent brassé donne soif, les bouteilles millésimées gracieusement offertes par la plèbe sont-elles au frais ?! Il est de temps de voter pour passer enfin aux agapes.

Les impôts pharaoniques de tous ces gueux qui rechignent à la troisième, quatrième dose expérimentale de Monsieur Bourla et son entreprise criminelle (Al Capone faisant office de petit délinquant de quartier en comparaison) ne sont certainement pas perdus pour tout le monde.

Cette clique de parlementeurs, gras comme des moines, gavés d’argent « public », ivres de pots-de-vin, sont fort bien repus. Merci pour eux. Ils se pavanent dans les plus beaux palais de la Monarchie française, privatisés, annexés par ce régime républicain putréfié, s’amusent de la réduction de la piétaille populacière en sous-hommes sur la terre de leurs ancêtres. Ancêtres généreusement mobilisés par trois fois, face au danger (pour qui ?) germanique, copieusement massacrés afin d’asseoir cette République universelle si chère aux conjurés de la Révolution dite française, largement réduits en esclavage durant tous le XIXe siècle pour le plus grand profit de quelques nantis, banquiers, industriels, affairistes, cosmopolites de tout poil.

Ce à quoi nous assistons désormais depuis deux ans n’est rien d’autre que le retour progressif à la situation qui prévalait il y a un peu plus d’un siècle : un système de castes où de misérables parvenus crachent à la gueule du peuple, le méprisent ouvertement.

https://www.huffingtonpost.fr/entry/pass-vaccinal-sylvain-waserman-sexplique-sur-le-champagne_fr_61e27c65e4b01f707da3717a

Et lorsqu’ils sont pris la main dans le sac, les voilà qui redoublent de morgue, insultant ce troupeau qui continue de financer sa propre mise mort, qui attend la prochaine élection pour que toute cette escroquerie démentielle, cosmique, continue de plus belle

Au risque de me répéter, pourquoi diable se generaient-ils ?!
Pile, je gagne, face, tu perds. Les termes du contrat ne peuvent que difficilement leur être plus favorable. Pour paraphraser Flaubert, de toute politique, il n’y a qu’une chose qu’ils comprennent, c’est l’émeute.
Et l’on distingue mal comment ce bétail QR codisés, ce cheptel de fonctionnaires et d’eunuques subventionnés pourraient, ne serait-ce que, formuler une telle idée.

Nos droits ne sont plus qu’un lointain souvenir. Tout est désormais question de privilèges en échange d’une soumission aveugle à cette mafia.
Bientôt, ils s’attaqueront directement à notre viande. Par ici les flonflons, les cocardes tricolores, le patriotisme de pissotière, pour la République, chargez manants ! Comme à la plus belle époque de la bataille des frontières, pantalons rouges et capotes bleues, un vrai lâcher de perdreaux à l’ouverture de la chasse.

Ce peuple d’abrutis, n’apprend-il jamais rien ?!

« Ceux qu’ont le pognon, ceux-là reviendront
Car c’est pour eux qu’on crève
Mais c’est fini, nous, les troufions
On va se mettre en grève
Ce sera vot’ tour messieurs les gros
De monter sur le plateau
Si vous voulez faire la guerre
Payez-la de votre peau  »

Ayons au moins la dignité de nous mutiner. Quitte à finir fusillé par la démocratie et les droits de l’Homme, autant s’économiser le sale boulot au profit de toute cette vermine. Vous ne croyez pas ?!

 

 

Article écrit par Jules pour le Réveil des Moutons

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