23 avril 2024

Bio-terrorisme radical, la dernière heure approche

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« Un tyran a besoin avant tout d’un état-tyran, alors il va utiliser un million de petits tyrans fonctionnaires qui ont chacun une tâche banale à exécuter, et chacun va exécuter cette tâche avec compétence, et sans remords, et personne ne se rendra compte qu’il est le millionième maillon de l’acte final. Les uns vont arrêter les victimes, ils n’auront commis que de simples arrestations, d’autres vont conduire ces victimes dans des camps. Ils n’auront fait que leur métier de mécanicien de locomotive, et le directeur de prison ouvrant ses portes n’aura fait que son devoir de directeur de prison. Bien entendu les chefs-tyrans utilisent les individus les plus cruels dans la violence finale, mais à tous les maillons de la chaîne, on a rendu l’obéissance confortable »  Henri Verneuil, « I comme Icare », 1979.

 

J’ai déjà beaucoup écrit sur cette pseudo crise « sanitaire », je vous renvoie à mes différents articles et notamment le dernier en date.

Il me faut confesser que ce sujet commence à générer chez moi une lassitude croissante. Tout a été dit, tout est sous nos yeux. Pour autant, personne ou presque ne daigne voir la réalité en face. Certes cette perspective n’est guère réjouissante mais il n’en demeure pas moins que nous y sommes confrontés quotidiennement. A chaque jour suffit sa peine disaient nos anciens, désormais nous parlons d’une peine à perpétuité chaque jour plus certaine dans l’indifférence générale au mieux, dans l’enthousiasme béat bien souvent.

Comme je l’ai déjà évoqué, l’Australie est devenu un laboratoire mondialiste de pointe en matière de rééducation du peuple par la force la plus brutale. Macron déclarait voilà bientôt deux ans qu’il était en guerre, le goulag australien en formation nous renseigne un peu plus sur la nature de cette guerre, et surtout sur les ennemis allégués, à savoir nous.

En République dite française, l’offensive comme je l’anticipais cible à présent nos enfants. Fidèle à sa tradition de terreur maquillée en bons sentiments, en grandes idées visant à subjuguer la populace, en grands principes finissant invariablement aux abattoirs, ce régime hypocrite en diable, cynique et génocidaire par essence termine de placer ses pions sur le grand échiquier que constitue notre pauvre France.

Ma référence à l’ouvrage éponyme de W.G Carr téléchargeable ici gratuitement (https://ia802707.us.archive.org/12/items/DesPionsSurLechiquier_902/Carr-William-Guy-Des-Pions-Sur-l-Echiquier.pdf) n’est absolument pas fortuite. Tous les laquais en charge de cette plandémie qui n’en finit pas sont des Young Global Leader, Macron et Philippe en 2011 et 2012 respectivement, l’ignoble Véran en 2019. Ces valets des cartels oligarchiques (Forum Economique de Davos, Bilderberg, Trilatérale, Club de Rome, etc) ont été cooptés pour de bonnes raisons, n’en doutez pas un seul instant chers lecteurs. Ce sont des sociopathes, mégalomanes, leurs troubles mentaux sont potentialisés par les quantités faramineuses de substance qu’ils ingèrent chaque jour par voie nasale notamment (mais pas que). Ils n’hésiteront pas, ne faibliront pas, ils sont là pour ça, ils aiment ça, profondément, presque autant qu’ils nous méprisent.

Quand on ajoute à cela l’apathie morbide des populations, singulièrement en France (ne me parlez pas des promenades d’essoufflés du samedi, dont je suis par ailleurs) alors il faut bien se rendre à l’évidence. Nos enfants vont y passer. Et combien vont trépasser ?!

Plus important encore, combien de parents vont s’y opposer ? Cinquante millions de vaccinés pour aller en terrasse, pour jouir encore un peu de cette pathétique société du spectacle (lisez Debord) permanent et de mauvaise facture, pour avoir le droit de « travailler » encore quelques temps pour les miettes qu’ils nous jettent. Combien de parents vont renoncer à tout cela pour garder leurs enfants exclus de l’école, pour les instruire et les élever eux-mêmes ? Dans une société atomisée où les familles recomposées (décomposées) ou monoparentale (oxymore) sont endémiques, la question ne se pose même pas. Ô peuple « si prodigieusement imbécile » comme disait Léon Bloy à la veille des grands équarrissages de 14, ils croient en vérité à cette mascarade, valide cette tyrannie non pas à cause de la propagande, mais bien par bêtise, par lâcheté et par soumission. Ceux qui attendent le grand réveil, espèrent le grand soir, appellent de leurs vœux pieux une révolte des soignants, des policiers, des militaires, ou d’on ne sait qui sont de parfaits niais ou des rentiers de ce système à un quelconque niveau. Ils s’économisent ainsi leur propre révolte ce qui est tout de même plus confortable et s’épargnent également au passage une remise en question personnelle quant à leurs choix passés, présents et à venir. Car oui, lorsqu’on accepte tout depuis des décennies, y compris dans les écoles de nos enfants, il ne faut pas s’étonner ensuite des conséquences.

Pas plus hier qu’aujourd’hui, pas plus aujourd’hui que demain.

« Après ceux-là, suivent les petits chacals sans nombre, dont l’office est de dévorer tout ce qui tombe et de lécher toute chose léchable. Et ce cortège est contemplé par un peuple immense, mais si prodigieusement imbécile qu’on peut lui casser les dents à coups de maillet et l’émasculer avec des tenailles de forgeur de fer, avant qu’il s’aperçoive seulement qu’il a des maîtres, — les épouvantables maîtres qu’il tolère et qu’il s’est choisis. » Léon Bloy, Belluaires et porchers, 1905.


Article écrit par Jules pour le Réveil Des Moutons.

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